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À l’aide de techniques avancées d’imagerie et de suivi des particules, les scientifiques ont examiné comment le liquide céphalo-rachidien contaminé se déplace dans les vaisseaux lymphatiques cervicaux et ont également enregistré les pulsations de ces vaisseaux qui favorisent l’écoulement du liquide.
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Les résultats ont montré que le taux d’élimination du liquide céphalo-rachidien contaminé chez les vieilles souris était 63 % inférieur à celui des jeunes souris. Cela est dû à une détérioration du fonctionnement des vaisseaux lymphatiques et à une diminution de leurs contractions.