Santé

Des chercheurs de l’Université Northeastern, de l’Université Rice et de l’Université Yale ont fait une découverte importante : ils ont identifié un anticorps capable de fournir une protection contre toutes les variantes du coronavirus SARS-CoV-2, responsable du COVID-19. Ceci est rapporté dans le nouveau numéro de la revue Science.

L’anticorps, appelé CV3-25, cible une région spécifique de la protéine de pointe (protéine S) du virus qui reste stable parmi les différentes souches. Cette fonctionnalité permet à l’anticorps de bloquer efficacement l’infection des cellules, même dans le cas de virus mutés.

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Les scientifiques ont créé un robot d’entraînement intelligent qui aide à restaurer les fonctions des patients ayant subi un accident vasculaire cérébral ou un traumatisme crânien, rapporte le National Robotarium.

Ce robot est capable d’analyser l’activité cérébrale du patient et d’interagir avec lui pendant la rééducation. Il fournit un retour d’information et affiche les mouvements nécessaires en temps réel, ce qui accélère et simplifie considérablement le processus de récupération. Les chercheurs de l’organisation écossaise ont souligné la valeur pratique du nouvel appareil.

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Des scientifiques de l’Université d’Aarhus ont fait une découverte intéressante : un mécanisme a été identifié qui peut aider à améliorer la mémoire. Un article publié dans la revue eLife note que les souvenirs peuvent être renforcés par des événements ultérieurs, même s’ils n’ont aucun lien direct avec l’expérience originale.

Auparavant, la formation de la mémoire était expliquée à l’aide du modèle Hebbien, selon lequel les synapses (contacts entre cellules nerveuses) deviennent la base de la mémoire à long terme si elles sont simultanément activées par l’activité neuronale. Cependant, de nouvelles recherches montrent que la plasticité synaptique peut également affecter les synapses voisines qui n’ont pas été directement activées. Ce processus est appelé plasticité hétérosynaptique.

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Des études récentes ont confirmé que les personnes qui se remettent d’un manque de sommeil le week-end courent moins de risques de développer une maladie cardiovasculaire. Ceci est rapporté dans un communiqué de presse sur MedicalXpress.

L’étude a porté sur 90 903 personnes du projet à grande échelle britannique Biobank. Les chercheurs ont étudié le lien entre un sommeil réparateur le week-end et la probabilité de développer une maladie cardiovasculaire en divisant les participants en quatre groupes en fonction de la quantité de sommeil compensé. Le groupe ayant le sommeil le plus réparateur avait un risque de maladie cardiaque 19 % inférieur à celui du groupe ayant le sommeil le moins réparateur.

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Des scientifiques de l’Université de Rochester ont fait une découverte importante qui pourrait aider à restaurer la capacité du cerveau à se débarrasser des substances nocives, ce qui est particulièrement important dans la lutte contre les maladies neurologiques liées à l’âge telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. Les résultats de leur étude ont été publiés dans la revue Nature Aging.

Une équipe de chercheurs a découvert que la restauration de la fonction des vaisseaux lymphatiques cervicaux peut accélérer considérablement le processus d’élimination des déchets du cerveau, qui ralentit avec l’âge. Ce processus se produit via le système glymphatique, un système unique de nettoyage du cerveau qui utilise le liquide céphalo-rachidien pour éliminer les protéines toxiques produites par l’activité cérébrale normale.

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